lundi 9 novembre 2015

Tant qu’il y aura des femmes (18)

c'est là que va se terminer notre rubrique
sur les papillons dans la peinture (18)...

...encore que ce sujet soit...inépuisable... !













Tant qu'il y aura des femmes....elles incarneront... la féminité : la séparation des sexes (qui transmettent la vie en mélangeant les chromosomes). Le premier stade des métamorphoses, c’est l’œuf, chez les papillons, (comme chez les poules), la vie commence par un œuf.


L’intérêt, est aussi que la vie (parfaite) est le résultat d’une autre métamorphose : la vie ne commence plus par un simple œuf. De là ne sort qu’une chenille, un peu sotte, un peu bête, privée d’âme apparemment et de la moindre intelligence : elle n’est mue que par l’instinct primaire de se "goinfrer", et in fine (c’et du latin : à la fin) de se chrysalider...avant l'ultime mutation.































C’est là en réalité que tout re-commence, et que sortira l'être (la femme) parfaite.

Tous ces préalables accomplis, la féminité (aboutie) pourra faire apparaître la suite, et l’essentiel : la beauté, (pour séduire), associée à une fragilité de façade (pour se faire protéger par un mâle du sexe opposé et donner du sens à un rôle (des mecs) en réalité réduit de transmission des gênes), la femme dite fragile étant en réalité forte pour pouvoir transmettre et conserver la vie...

...elle représente ainsi la sagesse !

Emile Meyer : vous savez tout maintenant sur le mythe de Psyché
vous la voyez la femme fragile qui croque direct la mort ?


Quoi de plus évident (tout ceci étant acquis), que d’imaginer la femme en papillon

Butterfly women !

pour Berthe Morisot, la femme chasse les papillons, mais en réalité elle est papillon





Ne vous étonnez pas, mesdames, que ces messieurs à leur tour...


...papillonnent !